Poids et mesure...
Lun 30 Mar - 20:16
Il était dit, sur tous les médias, qu’Untel pesait plus d’un million d’euros. Il se pesa pour voir.
Il vit l’aiguille tourner et tourner encore sans jamais s’arrêter. Il a bien attendu 10 minutes, elle ne s’arrêtait pas encore… en redescendant de la balance, il se dit que l’heure était grave… Il devait tout de suite prévenir Madame Untel, qui était partie au marché… Il avait besoin de nouveaux vêtements, et de toute urgence ! Mais dans quel vêtement allait-il bien pouvoir rentrer ? Sûrement pas dans les contrefaçons du marché, ni même dans les guenilles made in china de son magasin habituel…
« Mon Dieu », vision d’horreur, lorsqu’il s’approche de son armoire : plus aucun de ses vêtements ne lui convenait, même sa veste en tweed qu’il sortait à la première occasion : elle présentait un trou (discret certes, mais bien présent) au niveau du coude gauche. Monsieur Untel en resta coi, et dans son plus simple appareil… c’est dans cet état que sa femme le retrouva en rentrant du marché.
Monsieur Untel resta confiné des mois durant dans sa maison, ne sachant que porter.
Il finit par attraper un rhume et à faire faillite.
Monsieur untel pu alors ressortir la modeste veste en tweed de son armoire et lui-même de sa maison… et reprendre une vie normale.
Il a maintenant une grande empathie pour ses collègues qui ont « réussi »,
ce qui est bien avec l’empathie,
c’est que ça n’a pas de prix !
Lu;)
Il vit l’aiguille tourner et tourner encore sans jamais s’arrêter. Il a bien attendu 10 minutes, elle ne s’arrêtait pas encore… en redescendant de la balance, il se dit que l’heure était grave… Il devait tout de suite prévenir Madame Untel, qui était partie au marché… Il avait besoin de nouveaux vêtements, et de toute urgence ! Mais dans quel vêtement allait-il bien pouvoir rentrer ? Sûrement pas dans les contrefaçons du marché, ni même dans les guenilles made in china de son magasin habituel…
« Mon Dieu », vision d’horreur, lorsqu’il s’approche de son armoire : plus aucun de ses vêtements ne lui convenait, même sa veste en tweed qu’il sortait à la première occasion : elle présentait un trou (discret certes, mais bien présent) au niveau du coude gauche. Monsieur Untel en resta coi, et dans son plus simple appareil… c’est dans cet état que sa femme le retrouva en rentrant du marché.
Monsieur Untel resta confiné des mois durant dans sa maison, ne sachant que porter.
Il finit par attraper un rhume et à faire faillite.
Monsieur untel pu alors ressortir la modeste veste en tweed de son armoire et lui-même de sa maison… et reprendre une vie normale.
Il a maintenant une grande empathie pour ses collègues qui ont « réussi »,
ce qui est bien avec l’empathie,
c’est que ça n’a pas de prix !
Lu;)
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